Zirkoff B. - Compilers Notes (2)

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Compiler’s Notes
by Boris de Zirkoff
H. P. Blavatsky Collected Writtings, vol. 7, page(s) 126-134

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COMPILER’S NOTES

[These notes correspond to the respective superior numbers in the text of “Egyptian Magic”.]

1 While at Thebes in February, 1855, A. C. Harris bought several remarkable papyri from some Arabs who claimed to have found them all together in the same secret hiding place. One of them is a magnificent MS. which became known as the “Records of Ramses III”; another is a collection of several historical accounts from the reign of Ramses Neferka-Ra of the Twentieth Dynasty; a third is the Papyrus on Magic which H.P.B. speaks of. It consists of only nine pages containing 104 lines, to which are added 24 lines written on the reverse side. François Chabas published a work concerned with this papyrus, in which is given a facsimile of it together with complete translation and commentary on its meaning. The work is entitled Le Papyrus Magique Harris. Traduction analytique et commentée d’un manuscrit égyptien, comprenant le texte hiératique publié pour la première fois, un tableau phonétique et un glossaire. Chalon-sur-Saône: imprimerie de J. Dejussieu, 1860. vi, 250 pp., plates.

2 The original French text of this passage is as follows:

«La magie de nos jours.—Sans recourir aux cérémonies imposantes de la bague d’Hermès, ni aux obscures formules d’un mysticisme insondable, un magnétiseur de nos jours, au moyen de quelques gestes, bouleverse les facultés organiques, inculque la connaissance des langues étrangères, transporte dans les pays éloignés, dans les lieux secrets, fait deviner les pensées des absents, lire les lettres scellées, etc. L’antre des sybilles modernes est une simple chambre et le trépied de la pythonisse a fait place à un guéridon, à un chapeau, à une assiette, au meuble le plus vulgaire; mais, bien supérieur à l’oracle 127de l’antiquité qui se contentait de parler, l’oracle d’aujourd’hui va jusqu’à écrire ses réponses. À l’ordre d’un Médium, les esprits des morts viennent faire craquer les meubles, et les auteurs des siècles passés livrent leurs œuvres d’outre-tombe! La crédulité humaine n’a pas aujourd’hui des bornes plus étroites qu’à l’aube des temps historiques, et il n’en sera pas autrement aussi longtemps que les hommes seront soumis aux mêmes infirmités et animés par les mêmes désirs, aussi longtemps que le cœur humain éprouvera l’influence de cet instinct qui nous porte à convoiter ardemment la richesse et la considération. Tel était le vœu de ce contemporain de Moise, dont les papyrus nous ont conté l’histoire: ’Ne pourrais-je trouver un moyen immédiat, irrésistible, pour devenir puissant et redouté?’

«De même que la tératologie est une partie essentielle de la physiologie générale, de même aussi les prétendues sciences occultes occupent dans les annales de l’humanité une place qui n’est pas sans importance et méritent à plus d’un titre l’attention du philosophe et de l’historien.» (pp. 186-87.)

3 Quoted by de Mirville, either from de Rougé or the abbé Van Drival, in his Des Esprits, etc., Vol. V, p. 85. No definite source given.

4 The original French text for these somewhat paraphrased sentences is as follows:

«Calendrier des jours fastes et néfastes .. . . Le 20, on ne devait faire aucune espèce de travail. Celui qui aurait fait travailler un taureau mourait; le 24, interdiction de prononcer à haute voix le nom de Set. Celui qui l’avait prononcé pendant la journée, voyait le trouble dans sa maison à tout jamais. . . . Au 5 de Pachons, défense de sortir de la maison, sous peine de tomber malade et de mourir.» (pp. 156-57.)

Quoted by de Mirville, Des Esprits, etc., Vol. V, p. 88.

5 These abbreviated sentences are taken from a paragraph the French original of which is as follows:

«Influences généthliaques.—Indépendamment des observances dont ils avaient amené l’usage, les anniversaires mythologiques frappaient d’une marque heureuse ou fatale l’heure de la naissance; par exemple, l’enfant né le 21 de Thoth devait mourir dans la faveur . . . si c’était le 5 de Paophi, il serait tué par un taureau; le 27, par un serpent. Né le 4 d’Athyr, il périrait sous les coups . . . . .» (p. 158.)

Quoted by be Mirville, op. cit., Vol. V, p. 88.

6 The complete text of this incantation, as given by Chabas, is as follows:

«‘O brebis, fils de brebis; agneau, fils de brebis, qui te nourris du lait de la même brebis, ne permets pas que le défunt soit mordu par aucun serpent mâle ou femelle, par aucun scorpion, par aucun reptile; ne permets pas que le venin maîtrise ses membres; qu’il 128ne soit pénétré par aucun mort, par aucune morte! que l’ombre d’aucun esprit ne le hante! que la bouche du serpent Am-kahou-ew n’ait pas de pouvoir sur lui! lui, il est la brebis . . . .’» (pp. 163-64.)

Quoted by de Mirville, op. cit., Vol. III, p. 65.

7 The French original of these sentences is as follows:

«Faits acquis.—Nous apprenons par cette singulière histoire que, pour les Égyptiens, les esprits possesseurs étaient des Khous, c’est-à-dire des êtres de l’espèce à laquelle appartenaient les humains après la mort. On les combattait à l’aide de la puissance divine; le dieu Chons jouissait surtout d’un grand crédit pour ces sortes de délivrances. Toutefois le Khou, en obéissant aux injonctions du dieu, n’en conservait pas moins la précieuse faculté inhérente à sa nature d’occuper tout autre corps à son gré . . . . . .

«Les mânes, de leur côté, avaient le pouvoir de se manifester aux vivants le plus souvent, comme les revenants des époques plus modernes, d’une manière fâcheuse ou nuisible. Ainsi ils pouvaient entrer dans le corps des vivants, ou les hanter, les obséder. Contre ces redoutables invasions on employait, de même que dans le premier cas, des formules et des talismans, et en particulier les statues ou figures divines.» (pp. 168-69.)

Quoted by de Mirville, op. cit., Vol. III, p. 66.

8 Chabas speaks in this connection of chapter 162 of the funeral Ritual, not of the Papyrus magique. He says:

«Nous avons du reste la preuve que des noms mystiques, assimilables à ceux des chapitres en question, étaient d’un usage vulgaire à l’époque du séjour des Hébreux en Égypte.» (p. 162.)

Quoted by de Mirville, op. cit., Vol. V, p. 89.

9 The original French text of this entire passage seems to convey a different meaning, in that the defunct is spoken of rather than the “astral spook.” It is as follows:

«Osiris, siégeant sur son tribunal funéraire, y est invoqué sous le nom trois fois répété de Mamuram-Kahabu, et l’objet du chapitre est, comme c’est le cas pour la plupart de ceux du Rituel, d’obtenir que le défunt prenne toutes les formes qui lui plaisent et pénètre à son gré en tous lieux.» (p. 163.)

Quoted by de Mirville, op. cit., Vol. V, p. 89, where the same meaning is conveyed as in the original text of Chabas.

10 This passage is taken from what is known as the Papyrus Rollin, the third page of which is in the Bibliothèque Nationale, Paris (C. 1188), while two earlier pages are in the collection of Dr. Lee at Hartwell (vide Sharpe, Egypt. Inscr., 2nd Ser., pl. 87 and 88). F. Chabas gives in his work a transcription of the existing three pages in hieroglyphic characters. The French text of the passage, as 129quoted by H.P.B., together with Chabas’ footnotes to some of the terms, is as follows:

«De la première page qui nous reste [Lee I], le commencement est mutilé. La seconde ligne débute par les mots ’. . . . tous du lieu où je suis, et aux hommes du pays.’ On verra qu’il y a des motifs sérieux de supposer que le personnage qui parle ici à la première personne est un magistrat faisant un rapport et l’attestant devant les hommes d’après une formule en usage. La suite est en effet un rapport dont je vais donner la traduction:

«‘Ce Hai, homme mauvais, étant intendant de troupeaux; il avait dit: puissé-je avoir un livre qui me donne une puissance redoutable![1]

«‘Et il lui fut donné un livre de formules[2] de Ramsès Meri-Amen, le dieu grand, son royal maître. Et il lui arriva de procurer par pouvoir divin [3] des fascinations [4] aux hommes. Il réussit à se procurer d’une part une officine,[5] de l’autre, un endroit très profond. Et il lui arriva de faire des hommes de MENH,[6] des écrits 130d’amour,[7] les ayant fait voler dans le Khen par la main du tailleur de pierres Atirma . . . ., en forcant à s’éloigner l’un des agents, agissant magiquement[8] sur les autres, volant quelques formules dans le Khen et d’autres au dehors.

«‘Puis il s’ingénia sur elles et il trouva le véritable moyen pour toutes les horreurs et toutes les méchancetés dont son cœur avait conçu la pensée; et il les pratiqua réellement; et il les fit toutes ainsi que d’autres grands crimes, l’horreur de tout dieu et de toute déesse. De même, qu’il lui soit fait les prescriptions grandes jusqu’à la mort, que les paroles divines disent devoir lui être faites.’

«La page et le rapport finissent ici. On a relaté les faits et déclaré qu’ils tombaient sous l’application de la loi, qui les qualifie de crimes dignes de mort, et l’on conclut que la loi doit être appliquée au coupable.»

From this point down, H.P.B.’s or de Mirville’s quoting from Chabas is more or less of a paraphrase. The original French text has the following sentences:

«. . . la première ligne [of the second mutilated page of the papyrus] parle d’une main paralysée . . . . .

«‘Il lui est arrivé de faire des écrits magiques . . . . de faire quelques dieux de Menh . . . . . . et d’autres grands crimes, en disant: qu’ils se produisert, et en les faisant se produire . . . .’

«‘. . . . les magistrats qui l’ont examiné ont fait leur rapport, en disant: qu’il meurt lui-même (par l’ordre) du Pharaon, selon ce qui est dans les livres de la langue divine qui disent: que cela lui soit fait.’ ”

In the rare work of F. Chabas, Le Papyrus magique Harris, this material with its accompanying Plate occupies pp. 169-73. In de Mirville, op. cit., it can be found in Vol. V, pp. 89-90.

11 De Mirville refers to this in Des Esprits, etc., Vol. V, p. 96, and gives the Latin equivalent as: et loquebantur cum hominibus. No definite reference to any portion of the Treatise on Idolatry is given, however.

12 In the work of F. Chabas, the account is as follows, and is apparently the original from which de Rougé and de Mirville have both quoted:

131 «Ce monument rapporte que l’un des Ramsés de la XXme dynastie, percevant en Naharain[9] les tributs payés à l’Égypte par les nations asiatiques, s’éprit de la fille du chef de Bakhten, l’un de ses tributaires, l’épousa et la ramena en Égypte où il l’éleva à la dignité de reine, sous le nom royal de Ranefrou.

«Quelque temps après, le chef de Bakhten dépêcha à Ramsès un messager ayant mission de réclamer l’assistance de la science égyptienne en faveur de Bent-rosh, jeune sœur de la reine Ranefrou, atteinte d’un mal qui s’étendait dans tous ses membres.

«Le messager avait expressément demandé l’envoi d’un savant [REH’ H’ET], et le roi faisant appeler les hiéro-grammates du palais [TAI], et les gardiens des livres secrets du Khen, désigna parmi eux le scribe royal Thoth-em-Hébi, homme d’intelligence, très-versé dans l’écriture, et le chargea d’aller examiner la malade.

«Arrivé à Bakhten, Thoth-em-Hébi constata que Bent-Rosh était en état de possession par un Khou [EM SEH’ERU KER H’OU], mais il se trouva trop faible pour se hasarder à entreprendre la lutte.

«Onze années s’écoulent et l’état de la jeune fille ne s’était pas amélioré. Le chef de Bakhten renvoya alors son messager, et, sur sa demande formelle, Khons-pe-iri-sekher-em-Zam, l’une des formes de Chons, dieu fils dans la triade thébaine, fut dépêché à Bakhten, où il arriva après un voyage de dix-sept mois.

«Le dieu ayant fait l’acte du salut [BESA] à la malade, celle-ci se trouva subitement soulagée, et le Khou qui était en elle manifesta aussitôt son intention d’obéir à la sommation du Dieu. Une fête religieuse est convenue, et, selon sa promesse, pendant la cérémonie le Khou se retira où bon lui sembla, sur l’ordre de Khons-pe-iri-sekher-em-Zam.» (pp. 167-68.)

13 Lucian’s passage regarding Hierapolis is from his De dea Syria (Peri tês Suriês Theou), 10. The original Greek of this sentence is as follows:

. . . . . καὶ θεοὶ δὲ αὐτοῖσιν ἐμφανέες . . . . . . . .

The passage concerning the priest from Memphis can be found in Lucian’s Philopseudês ê Apistôn (Lover of Lies, or the Doubter), 34, where he is spoken of as one of the sacred scribes of Memphis, well versed in all the wisdom of the Egyptians, etc.

14 The reference to Jablonski, as given by de Mirville, is to his Panth., 1. II, p. 182.

15 De Mirville, op. cit., Vol. V, p. 257, says it is the 75th number of one of the Anastasi papyri.

132 16 The complete text of this passage, as quoted in French by de Mirville, op. cit., Vol. V, p. 258, is as follows:

«II ne faut invoquer ce grand nom, que dans une absolue nécessité et lorsqu’on a rien à se reprocher. Après quelques formules magiques, il entrera un Dieu à tête de serpent qui donnera les réponses.»

17 What is meant here is the following work: Lettre à M. Letronne. . . . . sur les papyrus bilingues et grecs, et quelques autres monuments gréco-égyptiens du musée d’antiquités de l’Université de Leide, par C.J.C. Reuvens . . . . Leide: S. et J. Luchtmans, 1830. 3 parties en 1 vol. 4-to. Atlas. (Bibliothèque Nationale, Paris; Library of Congress; University of Pennsylvania, Philadelphia, Penna., U.S.A.)

18 This sentence could not be located in Reuvens’ work. It may be a paraphrase of his general trend of ideas.

19 This reference, as given, is to be found in de Mirville, op. cit., Vol. V, p. 278. It is somewhat misleading, however. Pindarus’ passage occurs in his Dirges (Θρήνοι), 137 (102). Donaldson’s arrangement of the fragment is as follows:

ὄλβιος ὅστις ἰδὼν ἐκεῖνα
κοίλαν εἰσιν ὑπὸ χθόνα
οἶδεν μὲν βιοτου τελευτὰν
οἶδεν δὲ διόσδοτον ἀρχάν.

Sir John Sandys’ translation of it runs thus:

“Blessed is he who hath seen these things before he goeth beneath the hollow earth; for he understandeth the end of mortal life, and the beginning (of a new life) given of God.”

It has been attributed to a Dirge in memory of an Athenian who had been initiated into the Eleusinian Mysteries.

20 The Latin original of the entire sentence, of which this is a part, is as follows:

“. . . nam mihi cum multa eximia divinaque videntur Athenae tuae peperisse atque in vitam hominum attulisse, tum nihil melius illis mysteriis, quibus ex agresti immanique vita exculti ad humanitatem et mitigati sumus, initiaque ut appellantur, ita re vera principia vitae cognovimus; neque solum cum laetitia vivendi rationem accepimus, sed etiam cum spe meliore moriendi . . .”

This is translated by Clinton Walker Keyes (Loeb Classical Library. London: Wm. Heinemann; New York: G. P. Putnam’s Sons, 1928, p. 415) in the following manner:

“. . . For among the many excellent and indeed divine institutions which your Athens has brought forth and contributed to human life, none, in my opinion, is better than those mysteries. For by their means we have been brought out of our barbarous 133and savage mode of life and educated and refined to a state of civilization; and as the rites are called ‘initiations,’ so in very truth we have learned from them the beginnings of life, and have gained the power not only to live happily, but also to die with a better hope . . . .”

21This is hardly Aristophanes himself. The text of The Frogs contains no such passage. However, in the Introduction to the translation of The Frogs (in The Comedies of Aristophanes. Ed., transl. and Expl. by Benjamin Bickley Rogers. 6 vols. London: G. Bell & Sons, 1919. 2nd ed.), pp. xiv-xv, occurs the general idea expressed in the first part of this alleged passage; the closing part of it has remained untraced.

22 This may refer to Johannes Stobaeus’ Florilegium, in which Porphyry is quoted in connection with Stygios. In the ed. of Augustus Meineke, Lipsiae: B. G. Teubneri, 1855, these passages are in Vol. III, p. 248, and Vol. IV, p. 26.

23 The only passage somewhat resembling this general idea seems to be the one in Book I, 269, of Philo Judaeus’ De specialibus legibus, and is as follows:

“The mind is cleansed by wisdom and the truths of wisdom’s teaching which guide its steps to the contemplation of the universe and all that is therein, and by the sacred company of the other virtues and by the practice of them shown in noble and highly praiseworthy actions.”

24 This passage is from a short essay of Michael Psellus entitled Peri Daimonôn (De Daemonibus or Concerning Daimons according to the opinions of the Greeks), section 5 thereof. The Latin text (Vide Migne, Patrologiœ Cursus Completus. Ser. Gr., Vol. 122, col. 879. Paris, 1889) is as follows:

“Magna autem Graecis videbatur multam vim habere. Eam ultimam medicinalis scientiae partem esse dicunt. Investigans enim omnium sublunarium substantiarum et naturam et qualitatem, elementorum nempe eorumque partium, animalium quorumlibet, plantarum eorumque fructuum, lapidum, herbarum, et una verbo omnium rerum substantiam et potentiam, inde sua operatur. Oblectamenta proponit sanitatem efficientia, speciesque diversissimas producit, et alia medicamenta morbum efficientia. Aquilae et dracones efficax illis erant ad sanitatem sumptis; feles autem et canes et corri vigiliae symbola. Cera vero et lutum in membrorum confictionem adhibibantur. Apparere etiam facit ignis coelestis editionem. Et sponte subrident statuae et subito igne totam pades acceduntur. Complectitur quoque totam astronomiam et multa per eam et potest et perficit.”

In Isis Unveiled, I, 282-83, H.P.B. refers the student to Thomas Taylor’s The Eleusinian and Bacchic Mysteries (3rd ed., New York: 134J. W. Bouton, 1875), where other passages from this small essay of Psellus can be found in the Appendix, pp. 159-65.

25 The statement concerning the “seven thousand Initiates” has reference to Livy’s History, Book XXXIX, xvii, 6, where, however, the author merely speaks of the fact that “in the conspiracy, it was said, more than seven thousand men and women were involved.” This refers to the wide-spread corruption resulting from a black magical form of Bacchanalia which had been imported from Etruria by a nameless Greek and which was undermining the morals of the people. Roman administrators put an end to it by drastic means. It is obvious from Livy’s own text that the term “initiate” cannot mean in this respect anything else but those who had joined this cult and took part in its orgies. This took place about 186 B.C.

The second statement, concerning poisoning, has not been traced to its source.


Footnotes


  1. NRUI S’AFIU. J’ai discuté le dernier mot à la page 64. Le premier possède une signification analogue. Il exprime la terreur, la vénération, le respect mêlé de crainte qu’inspirent les dieux, les rois et même les puissants de la terre. Les deux expressions sont fréquemment en parallélisme. Voyez Champollion, Mon. XXXVIII, 21; CXXXI; CCXVII; Sharpe, Egypt. Inscr., pl. 117, 5. Déterminé par le signe de l’espèce humaine, NRU ne signifie pas les hommes, comme je l’avais cru, mais les terribles, les redoutables, les grands qui commandent la crainte et le respect.
  2. Litt. livres de formules piour l’action. Ce sont les moyens d’opérer, les recettes.
  3. NETER-PAHU. [the second word] veut dire atteindre, joindre, comme verbe de mouvement. Au sens abstrait ce mot signifie réussir à, venir à bout. Il est combiné avec [the first word] DIEU, comme dans l’expression NETER S’ES, servir Dieu, ou suivre Dieu.
  4. SIH. Déterminé par l’hiéroglyphe du mal et par celui de la vision, ce mot dont je ne connais pas d’autre exemple, est ici traduit conjecturalement.
  5. Une maison de. Ce groupe semble désigner l’atelier, le lieu de travail, ou peut-être les objets qui garnissent un lieu de cette espèce
  6. Des hommes de Menh. Plus loin nous trouverons des dieux de Menh-u. Ce sont peut-être des figures préparées en vue des opérations magiques. Un dieu de Menh est cité au Rituel comme saisissant les morts pour les conduire au supplice et se repaissant de leur chair (Todth., ch. 7, lig. 1). Évidemment la hommes et les dieux de Menh devaient remplir un rôle funeste. 9
  7. SH’AI-U EN MERU. Les charmes et les filtres pour provoquer l’amour ont de tout temps constitué une branche importante de l’art des sorciers.
  8. HAKA-U . . . . Nous avons expliqué que ce mot exprime la vertu, le pouvoir, l’efficacité. C’est la puissance d’opérer des effets par la simple volonté, sans effort physique, selon les prétentions de La magie . . . .
  9. La Mésopotamie.